Construction du stand Part II

Comme vous pouvez le voir, aujourd’hui je me suis équipé façon ‘Tempête du désert dans ta gueule’ a faire pâlir n’importe quel Georges W, histoire de ne pas me retrouver dans le même état qu’hier soir, à savoir, que sous la douche je dégoulinais d’un jus noir, que même Ever youth, mon gel sans savon pour le visage aux extrait tonifiants de citron vert et de thé pour déboucher les pores avait du mal a faire partir (c’est pas tant qu’on devient chochotte avec toute cette crasse, mais surtout que mon front se constelle de petits boutons  très vilains qui ruinent mon teint de jeune fille).

   

Bref, nous avons repris de bonne heure, vers 13 heures du matin et nous avançons pas mal. Il a fallu tirer du lit l’imprimeur cette nuit pour qu’il nous refasse un vinyle tiré trop petit, mais tout soit rentré dans l’ordre. C’est assez itératif comme méthode de travail. On monte, on démonte, on remonte, on raccourci, on rallonge… Pour vérifier l’orthogonalité, on place un gars à 20m qui ferme un œil et qui hurle ‘plus a gauche’ ou plus a droite’. Je me suis quand même permis de vérifier avec un bout de ficelle et une tête de marteau qui traînait, et ils tombent juste les bougres !

   

J’adore ce pays

 

PS : j’avais raison, le compresseur a lâché. La valve de purge est partie subitement à toute vitesse chez les voisins dans un grand pffffuitttttt. On ne l’a pas retrouvé, mais avec un peu d’imagination, un clou tordu (qui a du échapper au redresseur assermenté), et deux ou trois merdouilles trouvées par terre, le compresseur est repartit pour 3000 km…